Le Parquet de Port-au-Prince rappelle aux citoyens qu’il est interdit de partager des vidéos montrant des actes criminels. Dans un communiqué de presse daté du 31 octobre 2024, il met en garde contre les risques juridiques liés à la diffusion de contenus violents.
Le partage de ces vidéos viole les droits individuels et menace la sécurité nationale. Les personnes concernées s’exposent à des sanctions sévères, y compris la suspension des services téléphoniques et des poursuites judiciaires.
Le ministère public insiste sur la responsabilité individuelle sur les réseaux sociaux et demande aux utilisateurs d’être vigilants. Il rappelle que l’État haïtien contrôle les télécommunications et interdit tout contenu qui trouble l’ordre public.
Le commissaire du gouvernement Jean-Claude Jean Antoine appelle au respect de ces règles afin de garantir la sécurité et l’ordre dans le pays.