En République dominicaine, une nouvelle mesure oblige les Haïtiens illégaux vivant à Santiago De La Cruz à vendre leurs terres et leurs maisons dans un délai d’un mois. Les autorités exigent également qu’ils quittent le pays et retournent en Haïti, ce qui crée une pression énorme sur la communauté haïtienne.
Cette décision a profondément bouleversé les Haïtiens, qui considèrent leurs propriétés comme le symbole de l’espoir d’un avenir meilleur. La nécessité de vendre rapidement sur un marché déjà saturé accroît l’incertitude et les difficultés pour de nombreuses familles, déjà confrontées à des problèmes liés à l’immigration.
Les organisations de défense des droits de l’homme expriment leur inquiétude face à cette situation et demandent que les droits des migrants soient respectés. Elles appellent à des solutions durables qui reconnaissent les contributions significatives de ces personnes à la société dominicaine. La communauté haïtienne espère également une intervention internationale pour atténuer l’impact de cette mesure.