Le Conseil Présidentiel de Transition (CPT) est sous le feu des critiques après que trois de ses membres aient été accusés de corruption dans le cadre de l’affaire de la Banque Nationale de Crédit (BNC). Cette situation inquiète les acteurs politiques et la société civile.
Clarens Renois, leader du parti UNIR et membre du Collectif du 30 janvier, exige des sanctions contre les conseillers concernés. Selon lui, ces allégations compromettent la crédibilité du CPT et risquent d’entamer la confiance du public. Il appelle à une action rapide pour protéger l’intégrité de l’institution.
Le Collectif du 30 janvier demandait également la démission d’Edgard Leblanc Fils, ancien président du CPT, du Conseil d’administration. À ce jour, aucune réponse n’a été apportée, ce qui laisse planer un doute sur l’avenir du Conseil.